
Nos capsules de café ne pourraient être véritablement excellentes si nous ne nous soucions pas de leur empreinte carbone et de l’environnement. C’est pourquoi nos produits sont fabriqués de manière à compenser les émissions de CO₂. Aujourd’hui, ils incarnent l’excellence à l’état pur.
Désormais, les émissions de CO₂ de toutes les capsules Lavazza Firma et Blue sont compensées. L’expérience classique et unique du café Lavazza, avec tous les arômes et saveurs de nos assemblages, est maintenant proposée dans d’excellentes capsules compensées en carbone.
Notre approche en matière de neutralité carbone commence par la réduction des émissions tout au long de la chaîne de valeur de Lavazza. En 2020, nous avons commencé par compenser les émissions directes et réussi à atteindre une compensation totale des émissions de CO₂. Cette démarche s’inscrit dans le cadre de notre engagement plus vaste en faveur du développement durable : Blend for Better. Cet engagement couvre de nombreux projets qui suivent les Objectifs de développement durable de l’Agenda 2030 des Nations Unies, dans quatre domaines clés : Protéger l’environnement, Instaurer un cycle vertueux, Ouvrir des horizons et Éduquer au changement.
PLUS D’INFORMATIONSNotre approche en matière de neutralité carbone commence par la réduction des émissions. Nous sommes conscients que toutes les émissions ne peuvent être réduites en une seule fois, c’est pourquoi Lavazza utilise la compensation carbone sur les émissions résiduelles en apportant son soutien à différents projets. Nous compensons nos émissions annuelles de carbone en fonction des volumes de capsules vendues. Pour 2022, le montant ainsi compensé équivaut à :
Système Blue by Lavazza
Système Firma by Lavazza
Les activités mises en place pour compenser les émissions de carbone des capsules Lavazza Firma et Blue couvrent l’ensemble du cycle de vie des produits, de la culture du café à sa fin de vie en passant par toutes les étapes de production, de transport et d’élimination.
Lavazza figure parmi les principaux acteurs mondiaux de l’industrie agroalimentaire. C’est pourquoi produire un café de qualité supérieure ne constitue qu’une partie de notre mission : si nous ne prêtions pas attention à la manière dont nous le faisons, cette mission n’aurait pas de sens.
Nous nous engageons à faire de notre mieux afin d’utiliser des ressources durables, d’assurer une vie professionnelle équitable aux producteurs de café et, bien sûr, de réduire les émissions carbone au sein de notre chaîne d’approvisionnement. Agissons ensemble !
À environ 60 km au sud-est de la ville de Feijó, dans l’État d’Acre, le projet Envira Amazonia s’étend de part et d’autre du fleuve Jurupari, dans le bassin amazonien, sur des terres qui appartenaient auparavant aux hommes d’affaires Duarte Jose do Couto Neto et Bento Ferraz Pacheco. En 2009, 200 000 hectares de terres ont été vendus à des experts en gestion forestière, et le projet a été mis en place afin de préserver les 39 300 hectares de forêts de la zone, autrefois vouées à la déforestation et à la conversion en pâturages. Chaque année, le projet atténue en moyenne 1 259 000 tonnes équivalent CO2 et protège 39 300 hectares de forêts tropicales humides de la déforestation.
Situé dans l’écorégion de Bale en Éthiopie, qui compte près de 500 000 hectares de haute forêt, ce projet REDD+ abrite la plus grande forêt alpine d’Afrique ainsi qu’une zone riche en biodiversité, de grande importance écologique. Toutefois, les niveaux élevés de pauvreté parmi les communautés ont conduit à l’exploitation de la forêt pour le bois de chauffage et à l’expansion de l’agriculture, les locaux ayant historiquement un accès libre aux terres forestières. Cette situation a eu pour conséquence une déforestation et une dégradation rapides de la forêt. Ce projet met en œuvre un cadre de gestion forestière participative qui aide les utilisateurs locaux et le gouvernement à gérer ensemble la responsabilité ainsi que les avantages de la forêt. En évitant la déforestation, ils bénéficient d’incitations économiques grâce à la vente de crédits carbone.
Le projet du Fonds communautaire Chacayes intervient sur une centrale électrique située dans la vallée de Cachapoal, au Chili. Initié en 2011, il a joué un rôle important pour répondre à la demande nationale croissante en électricité, mais aussi pour réduire les émissions de CO2, en contribuant à la croissance économique et au développement durable des communautés locales. Par exemple, plus de 200 personnes ont été formées et 80 ont décroché un emploi au cours des deux dernières années.
Ce projet consiste à mettre en place la centrale hydroélectrique de Teles Pires, l’une des plus efficaces du Brésil, capable de fournir de l’énergie à environ 13,5 millions d’habitants. Au total, 44 programmes socio-environnementaux ont été développés autour de cette centrale, notamment des projets d’éducation à l’environnement, de restauration des forêts et de conservation des terres. En outre, 12 programmes ont été élaborés exclusivement pour la protection des populations indigènes de la région.
Ce projet porte sur la mise en œuvre et l’exploitation de sept nouvelles installations de production d’électricité d’origine éolienne. L’activité du projet contribue au développement durable du pays hôte en contribuant à la viabilité environnementale locale ainsi qu’à la création nette d’emplois, tout en favorisant l’apprentissage et le développement technologiques.
Ce projet sera le premier parc éolien interconnecté au système national interconnecté du Honduras. Il contribue au développement durable du pays en réduisant les émissions de gaz à effet de serre et les importations de combustibles fossiles. Grâce aux investissements locaux, il améliorera l’économie du territoire et créera de nouvelles possibilités d’emploi. Répondre à la demande croissante d’énergie et diriger la transition vers l’abandon de la production de combustibles fossiles permettra de démontrer la reproductibilité des technologies d’énergie propre.
Pour ce projet, la compensation des émissions provient de l’électricité propre produite par les parcs éoliens mexicains d’Oaxaca. Ceux-ci produisent de l’énergie propre pour près de 700 000 foyers mexicains, ce qui représente une réduction annuelle des émissions de 670 000 tonnes d’équivalent CO2 dans l’atmosphère. On peut considérer cela comme l’équivalent de la fixation du CO2 réalisée par une forêt de 33,5 millions d’arbres. À Oaxaca, plus de 500 000 euros ont été investis jusqu’à présent pour améliorer la qualité de vie de plus de 12 000 personnes.